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Les maladies
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PREMANDYSK
Impact d’un traitement précoce par amantadine sur les dyskinésies induites par la L-Dopa dans la maladie de Parkinson : étude comparative avec tirage au sort versus placebo.
L’objectif principal est de démontrer que l’introduction d’un traitement par amantadine (200 mg/j) dès les premières années de prise en charge thérapeutique diminue le taux de sujets souffrant des mouvements anormaux involontaires dyskinétiques après 18 mois de suivi.
Rationnel :
Le taux d’apparition des mouvements anormaux (dyskinésies) induits par la L-DOPA dans la maladie de Parkinson (MP) est estimé à environ 10% par année de traitement par la L-DOPA. Leur prise en charge reste incomplète ; l’amantadine est un antiparkinsonien aux propriétés pharmacologiques complexes qui outre son effet antiparkinsonien, possède aussi des propriétés anti-dyskinétiques. Les mécanismes d’action de l’amantadine et la physiopathologie des complications induites par la L-DOPA, suggèrent que l’utilisation de ce médicament durant les premières années de prise en charge des patients, sans attendre qu’ils ne souffrent déjà de dyskinésies, devrait avoir un effet favorable au long cours sur leur survenue.
Informations sur le recrutement : Ouvert
Profils :
Si vous souhaitez des renseignements sur cette étude, vous pouvez contacter : sandrine.dupouy@chu-bordeaux.fr ou sandrine.villars@chu-bordeaux.fr
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